
On découvre Livré la Touche au milieu d'une verte campagne, à l'écart des grands axes routiers et à 4 km de Craon, chef-lieu de canton. En remontant le temps, on s'aperçoit que cette localité, comme beaucoup de communes rurales, était beaucoup plus peuplée que de nos jours. Elle comptait en effet 1 345 habitants en 1726, 1512 en 1803, 1503 en 1861, 1169 en 1908 et 892 en 1969.
Notre commune a emprunté son nom au latin "le domaine de libérius"; la particule "la Touche" nom d'un lieu-dit provenant de "Toscha" qui signifie "forêt".
Son territoire d'une superficie de 3 008 ha est limité à l'est par l'Oudon et arrosé par la Mée qui le traverse d'ouest en est. Son altitude, suivant les plateaux, varie de 80 à 87 m. Défriché par les disciples d'Arbrissel, il a été habité par nos lointains ancêtres. En effet, outre la découverte de haches en silex à "Saint Hubert", il a été mis au jour en 1878 une hache en bronze dans un champ du Bourgneuf et des sépultures Mérovingiennes au village du "Chemin". Aux Miaules, une profonde tranchée longue de 200 m subsiste entre deux talus de rejets. Cet ouvrage datant de l'époque carolingienne aurait servi de protection contre une invasion venant des rois francs. Les lieux-dits appelés "Les Miaules" ou 'le miaule" conserveraient des vestiges d'anciennes mines d'or gallo-romaines. D'autres vestiges, pas encore mis à jour, subsistent encore.
Avant la révolution, quatre foires se tenaient à Livré (le mercredi des Cendres, le mercredi de la Pentecôte, le mercredi de la St Laurent, le mercredi avant la Toussaint) dans le champ dit de "La Croix Choite". En 1843, la commune possédait 200 fermes, une tuilerie et une briquerie. De nos jours, elle conserve une vocation essentiellement agricole et possédait vers le milieu du 20ème siècle plus d'une centaine de fermes et presque tous les métiers liès à l'agriculture.
Son territoire d'une superficie de 3 008 ha est limité à l'est par l'Oudon et arrosé par la Mée qui le traverse d'ouest en est. Son altitude, suivant les plateaux, varie de 80 à 87 m. Défriché par les disciples d'Arbrissel, il a été habité par nos lointains ancêtres. En effet, outre la découverte de haches en silex à "Saint Hubert", il a été mis au jour en 1878 une hache en bronze dans un champ du Bourgneuf et des sépultures Mérovingiennes au village du "Chemin". Aux Miaules, une profonde tranchée longue de 200 m subsiste entre deux talus de rejets. Cet ouvrage datant de l'époque carolingienne aurait servi de protection contre une invasion venant des rois francs. Les lieux-dits appelés "Les Miaules" ou 'le miaule" conserveraient des vestiges d'anciennes mines d'or gallo-romaines. D'autres vestiges, pas encore mis à jour, subsistent encore.
Avant la révolution, quatre foires se tenaient à Livré (le mercredi des Cendres, le mercredi de la Pentecôte, le mercredi de la St Laurent, le mercredi avant la Toussaint) dans le champ dit de "La Croix Choite". En 1843, la commune possédait 200 fermes, une tuilerie et une briquerie. De nos jours, elle conserve une vocation essentiellement agricole et possédait vers le milieu du 20ème siècle plus d'une centaine de fermes et presque tous les métiers liès à l'agriculture.